La possibilité d’utiliser un appareil photo non étalonné facilite grandement la mise en œuvre de la photogrammétrie. La plupart des logiciels “grand public” fonctionnent par défaut en auto-étalonnage.
Le principe est simple : Lire la suite
La possibilité d’utiliser un appareil photo non étalonné facilite grandement la mise en œuvre de la photogrammétrie. La plupart des logiciels “grand public” fonctionnent par défaut en auto-étalonnage.
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. Introduction
Avec le développement de divers outils logiciels, et à partir d’un lot de photographies idoines, la production d’un nuage de points par corrélation dense est devenue relativement aisée, quel que soit le sujet (architecture, structure archéologique, objet, art pariétal, etc…).
En acceptant de longs temps de calcul, on peut choisir d’effectuer les traitements avec un PC de bureau, en utilisant MicMac (IGN), Photoscan (AgiSoft) ou PMVS/Bundler….
Si l’on souhaite davantage de rapidité et de facilité, et en admettant alors de perdre le contrôle des paramètres utilisés, on peut choisir de recourir à des WebServices, comme 123dCatch (AutoDesk), ARC3d (Université de Louvain) ou CubifyCapture…
Dans les deux cas, on obtiendra alors généralement des points localisés dans un repère « en local », et divers post-traitements seront nécessaires pour mettre à l’échelle le nuage de points, l’orienter sur les axes XYZ, et le positionner dans un système de coordonnées conventionnel (aujourd’hui Lambert93). Lire la suite